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On se marre sans complexe


C’est une histoire de homard.

D’un animal qui s’est construit une carapace, et qui peut en changer selon ses humeurs pour se fondre dans le paysage.

Le homard, c’est Steven, un jeune employé d’un crématorium qui galère avec le moteur du four. Il essaye de bien faire, comme lorsqu’il propose à la famille de chanter l’oraison funèbre pour remplacer la radio cassée et accompagner la famille (« Pour tes funérailles, mon amie, nous voulons tous te dire au revoir, et adieu. A dieu »).

La famille en question se compose de la mère plaquée par son mari et qui ne s’en remet pas (« Il n’a pas changé de numéro papa, là, parce que je n’arrive pas à l’avoir ? »), d’une fille récemment convertie au bouddhisme (« dans ma religion, le blanc c’est la couleur pour le deuil, je suis bouddhiste »), et d’un garçon manqué.

Quand le croque-mort s’installe avec le garçon manqué (« Moi je suis jalouse parce que j’ai beaucoup d’amour pour toi ») chez sa meilleure amie nymphomane (« Marie C., c’est pas une fille, c’est une copine »), sa vie se complique. Et alors que son attirance pour la danse classique annonce son éventuelle homosexualité, on se demande comment il trouvera sa place dans cet univers tout droit sorti de Confessions Intimes (« Y a pas que le travail dans la vie, il y a la vie aussi »).


De Julien Ratel.


Mise en scène de Benjamin Gauthier, Julien Ratel.

Collaboration artistique : Pierre Palmade.


Avec Constance Carrelet, Marie Lanchas, Françoise Lépine, Magali Miniac, Julien Ratel et Yann Papin

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