Le management collaboratif
L’holacratie, un système d’organisation du travail basé sur la gouvernance, met en avant l’intelligence collective. Le manager est au centre de la prise de décision et non plus au sommet. La hiérarchie tend à devenir plus floue. L’horizontalité laisse place à la transversalité. On parle alors de management collaboratif. Dans un contexte de globalisation et de complexification, il est de plus en plus admis qu’une meilleure communication entre les parties prenantes et une implication de tous sont garants d’une optimisation du travail.
Si ce modèle a trouvé son origine dans les SCOP, sociétés collaboratives et participatives, il tend aujourd’hui à se généraliser, même s’il s’inscrit dans la durée.
Qu’est ce qu’une SCOP ? Une petite vidéo pour mieux comprendre
Quelques règles d’or afin d’envisager le management collaboratif.
apprendre à faire confiance et créer un climat de confiance pour créer une communauté
gagner en souplesse et en flexibilité pour être réactif et s’adapter au réel
impliquer les salariés pour les faire adhérer aux valeurs et objectifs de l’entreprise et ainsi créer de l’engagement
favoriser la transparence afin de permettre la visibilité et la réactivité de toute l’équipe
faciliter les interactions et décloisonner les postes ainsi que les services pour bénéficier de complémentarité
garantir la communication à tous les niveaux et toutes les étapes pour fédérer les équipes/ la confrontation peut alors être constructive !
stimuler la créativité et l’innovation pour se réinventer et rester connecté aux tendances, voire les lancer !
ne pas perdre de vue l’ENSEMBLE dans un contexte de dématérialisation.
Enfin, il est recommandé de définir ce qui est essentiel/important, afin d’anticiper les tâches pour ne pas travailler dans l’urgence.
La matrice Eisenhower permet de placer différentes actions selon leur degré de priorité et d’importance.
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